Le jeudi 12 janvier, Monsieur Jacques LARCHER, Maire de Grandvilliers, assisté de Monsieur Gérard MONCEAU, Adjoint au maire a accueilli à l'Hôtel de Ville : Monsieur Claude GAUDUIN, Délégué Général Départemental du Souvenir Français et le Colonel honoraire Roger LESCUYER, son adjoint, pour mettre en place le Comité Cantonal du Souvenir Français. Qu'est-ce que le "Souvenir Français" ? Née en 1872 en Alsace et Lorraine occupées, fondée à Neuilly-sur-Seine en 1887, régie par la loi de 1901, reconnue comme établissement d'utilité publique en 1906, l'Association Nationale du "Souvenir Français" a une triple mission :
- conserver la mémoire de ceux et celles qui sont morts pour la France, tout au long de son histoire, ou qui l'ont honorée par de belles actions ;
- veiller et participer à l'entretien de leurs tombes, ainsi que des monuments élevés à leur gloire, tant en France qu'à l'étranger.
- transmettre le flambeau du souvenir aux générations successives.
Il faut savoir que chaque année le Comité du Souvenir Français entretient, rénove et fleurit plus de 130.000 tombes, restaure plus de 250 monuments, réalise quelque 40 stèles, et organise des visites scolaires sur les lieux de mémoire.
Les ressources d'un Comité Cantonal proviennent essentiellement :
- de la quête nationale du 1er novembre ;
- des cotisations annuelles de ses membres ;
- des subventions que peuvent allouer les conseils municipaux.
Au cours de cette réunion, le bureau du Comité du Souvenir Français du canton de Grandvilliers a été ainsi constitué :
Président : Monsieur Constant MONIER /
Vice-président : Monsieur Jean Paul TRIBAUDEAUT /
Secrétaire : Monsieur Claude BILLARD /
Trésorier : Monsieur Jacques VILLET.
Monsieur le Maire a tenu à les féliciter d'avoir accepté de faire partie de ce premier Comité Cantonal et de mettre leur activité, leur temps et leur dévouement au service du Souvenir Français.
Il incite toutes les personnes désireuses de faire partie de ce comité afin de maintenir et renforcer la mémoire de ceux qui ont sacrifié leur vie pour nos libertés à contacter l'un des membres du bureau.